Dans le foot, si on aime surtout le spectacle proposé sur la pelouse par les 22 acteurs tout en essayant de marquer des buts, on adore plus que toute l'ambiance qui entoure tout cela.
La ferveur des stades, quoi ? Celle qui sublime une rencontre.
Celle qui donne des ailes à certains joueurs alors qu'elle en plombe d'autres. Bref, celle qui fait frissonner tout le monde.
Oui, c'est pour ça qu'on aime le foot. Et pour la même raison que l'on n'aime pas les matches à huis clos.
Samedi dernier, dans la soirée, le KACM a reçu le Raja de Béni Mellal pour le compte de la 5ème journée de la D2.
Un match synonyme de fête, tant la compétition footballistique permet de mettre une ambiance particulière dans les stades où elle se dispute. Seulement voilà, le Kawkab et le RBM ne connaîtront pas cette joie.
Les deux clubs joueront seulement devant leurs entraîneurs, leurs coéquipiers restés sur le banc, et quelques officiels dispersés par-ci par-là.
Oui, suite à une suspension infligée par la FRMF au KACM,
cette rencontre s’est disputée à huis clos. Drôle de sensation.
Un match de la D2 n’a pas la même gueule quand les tribunes du stade sont vides. Vides de supporters et vides de chaleur. Immensément tristes, finalement.
Au moment où les joueurs pénètrent sur la pelouse, ce même moment où les chansons des ultras résonnent dans le stade, on aime regarder ces tribunes vivantes.
Ces visages de supporters dessinés par la joie. La joie d’être là, de vivre ces moments riches en émotions.
Quand on entend une mouche voler dans le stade, rien n’est pareil.
Si vous trouvez ça étrange devant votre téléviseur, sachez que c’est encore plus particulier quand on est l’un des joueurs présents sur la pelouse. C’est vraiment bizarre.
Surtout quand il s’agit d’un match où il y a normalement une grosse pression. Il est là, le vrai moment critique.
Ce moment où ce sont normalement les hurlements de la foule qui mettent tout le monde dans le bain.
Bref, au cours de cette empoignade, le KACM a renversé la vapeur et a transformé sa défaite en une victoire sur le score de deux buts à un aux dépens de la coriace équipe du RBM.
Les visiteurs ont su de la plus belle des manières de cavalier seuls sur l’aire de jeu durant le premier half et même ils réussissaient le luxe d’ouvrir le marquoir par l’intermédiaire de Rédouan Karwi à demie heure du jeu, profitant de la méforme des Kawkabis et de la désintégration des lignes de jeu des locaux (0/1).
Au cours du deuxième half, et à la surprise générale, le rythme des visiteurs baissa. Les joueurs mellalis se sont retranchés à la défense dans le but de défendre les acquis, laissant l’initiative aux locaux motivés à bloc et munis d’une grande rage de vaincre.
Ces derniers, avec la pression constante sur les buts adverses, ont eu gain de cause à la 74ème minute par l’omniprésent Josef Campos (1/1).
L’entraîneur du RBM, Redouane Allali, a payé très cher l'excès de nervosités et de protestations envers les arbitres et a reçu un carton rouge avec l'un de ses joueurs du milieu de terrain, ce qui a affecté négativement le groupe en encaissant un deuxième buteur à la 90ème minute par l'intermédiaire de l'attaquant remplaçant Momodou Bojank (2/1).
Durant le temps mort, les Mellalis avaient le nul entre les pieds mais en vain lorsqu’ils ratèrent un penalty fout fait.
Pour le KACM, public ou pas, cela reste un match. Un match qu’il faut gagner, même dans le silence.
Du coup, le KACM a augmenté son score de points à 12 unités et occupe la première place, tandis que Raja Beni Mellal se pointe à la 11ème position avec 4 points.
La ferveur des stades, quoi ? Celle qui sublime une rencontre.
Celle qui donne des ailes à certains joueurs alors qu'elle en plombe d'autres. Bref, celle qui fait frissonner tout le monde.
Oui, c'est pour ça qu'on aime le foot. Et pour la même raison que l'on n'aime pas les matches à huis clos.
Samedi dernier, dans la soirée, le KACM a reçu le Raja de Béni Mellal pour le compte de la 5ème journée de la D2.
Un match synonyme de fête, tant la compétition footballistique permet de mettre une ambiance particulière dans les stades où elle se dispute. Seulement voilà, le Kawkab et le RBM ne connaîtront pas cette joie.
Les deux clubs joueront seulement devant leurs entraîneurs, leurs coéquipiers restés sur le banc, et quelques officiels dispersés par-ci par-là.
Oui, suite à une suspension infligée par la FRMF au KACM,
cette rencontre s’est disputée à huis clos. Drôle de sensation.
Un match de la D2 n’a pas la même gueule quand les tribunes du stade sont vides. Vides de supporters et vides de chaleur. Immensément tristes, finalement.
Au moment où les joueurs pénètrent sur la pelouse, ce même moment où les chansons des ultras résonnent dans le stade, on aime regarder ces tribunes vivantes.
Ces visages de supporters dessinés par la joie. La joie d’être là, de vivre ces moments riches en émotions.
Quand on entend une mouche voler dans le stade, rien n’est pareil.
Si vous trouvez ça étrange devant votre téléviseur, sachez que c’est encore plus particulier quand on est l’un des joueurs présents sur la pelouse. C’est vraiment bizarre.
Surtout quand il s’agit d’un match où il y a normalement une grosse pression. Il est là, le vrai moment critique.
Ce moment où ce sont normalement les hurlements de la foule qui mettent tout le monde dans le bain.
Bref, au cours de cette empoignade, le KACM a renversé la vapeur et a transformé sa défaite en une victoire sur le score de deux buts à un aux dépens de la coriace équipe du RBM.
Les visiteurs ont su de la plus belle des manières de cavalier seuls sur l’aire de jeu durant le premier half et même ils réussissaient le luxe d’ouvrir le marquoir par l’intermédiaire de Rédouan Karwi à demie heure du jeu, profitant de la méforme des Kawkabis et de la désintégration des lignes de jeu des locaux (0/1).
Au cours du deuxième half, et à la surprise générale, le rythme des visiteurs baissa. Les joueurs mellalis se sont retranchés à la défense dans le but de défendre les acquis, laissant l’initiative aux locaux motivés à bloc et munis d’une grande rage de vaincre.
Ces derniers, avec la pression constante sur les buts adverses, ont eu gain de cause à la 74ème minute par l’omniprésent Josef Campos (1/1).
L’entraîneur du RBM, Redouane Allali, a payé très cher l'excès de nervosités et de protestations envers les arbitres et a reçu un carton rouge avec l'un de ses joueurs du milieu de terrain, ce qui a affecté négativement le groupe en encaissant un deuxième buteur à la 90ème minute par l'intermédiaire de l'attaquant remplaçant Momodou Bojank (2/1).
Durant le temps mort, les Mellalis avaient le nul entre les pieds mais en vain lorsqu’ils ratèrent un penalty fout fait.
Pour le KACM, public ou pas, cela reste un match. Un match qu’il faut gagner, même dans le silence.
Du coup, le KACM a augmenté son score de points à 12 unités et occupe la première place, tandis que Raja Beni Mellal se pointe à la 11ème position avec 4 points.